Wassila Et Salim, Ou LHistoire DUn Cocufiage Voulu Et Accepté. Deuxième Partie: J'Ai Rencontré Apollon
Wassila et Salim, ou lhistoire dun cocufiage voulu et accepté
Deuxième partie : Jai rencontré Apollon
Je ne revis Wassila que deux mois plus tard. Curieux, je lui demandais si son histoire de cocufiage avait eu des suites.
- Plusieurs suites même ! répondit-elle.
- Raconte !
- Pas maintenant, jai un rendez-vous important. Retrouvons-nous demain autour dun thé et je te raconterai.
Nous nous retrouvâmes effectivement le lendemain, en début daprès-midi autour dun bon repas au restaurant et elle se mit à me raconter les derniers développements de son histoire avec son mari Salim.
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Après mes déboires avec Abdelkader, mon patron, javais démissionné de mon poste dassistante et suis allée travailler, toujours à luniversité dAlger, dans le laboratoire de langues. Jétais chargée de la gestion des équipements et des matériels des différents laboratoires de luniversité dAlger. Mon aventure avec Abdelkader avait laissé en moi une trace indélébile : dune part, javais presque honte de moi, malgré le soutien ferme de Salim ; honte de mêtre laissée traiter comme cela, en chienne. Dun autre côté, le souvenir du plaisir que javais pris métait resté en mémoire et chaque fois que je men rappelais, je sentais une sorte de chaleur et de bien-être irradier en moi, et mon cur se serrait, comme sil avait perdu quelque chose dimportant.
Pendant environ quinze jours, je ne fis absolument rien, bien que Salim, me questionnait chaque jour sur une éventuelle aventure extra conjugale que jaurais eue dans la journée. Et puis, je me mis à regarder dun air intéressé tous les hommes que je croisais - bien entendu, quand ils étaient beaux et donnaient lair dêtre virils. Pendant longtemps, je nen avais trouvé aucun qui valait la peine que mefforce de le séduire. Et puis un jour, au sein même du laboratoire, jai rencontré celui qui allait nous faire passer à Salim et à moi, des moments merveilleux.
Je vis tout de suite que cétait un européen : grand, blond, les yeux bleus. Quand je le vis pour la première fois, il était de dos, entrain de contrôler le tableau de commande du laboratoire danglais. Javais été attirée par sa longue tignasse blonde et raide, sa grande taille et ses larges épaules ; il avait aussi une taille fine, des hanches étroites et un mignon petit fessier, serré dans un jean délavé, de couleur grise.
- Bonjour monsieur ! fis-je, rien pour quil se retourne pour que je puisse le voir de face.
Et de face, il était encore plus mignon ! Cétait un vrai blond, avec des yeux bleus ! Comme on nen voit quau cinéma ! Il devait avoir environ trente ans. Le nom qui métait venu spontanément à lesprit était Apollon. Javais vu plusieurs représentations du Dieu grec du soleil, et nétaient ses cheveux raides (Apollon avait toujours été représenté avec des cheveux bouclés) lhomme qui se tenait debout devant moi, en aurait été le sosie parfait. Cest dire combien, il était beau.
- Bonjour madame ! répondit-il avec une voix forte et mélodieuse.
Je venais de tomber amoureuse ! Je me présentais au monsieur, comme étant la responsable de la gestion des équipements des différents laboratoires de langues de lUniversité. Lui se présenta aussi :
- Michel, Technicien dentretien des équipements de laboratoires de marque (x), en mission de contrôle des installations réalisées par sa société dans les universités dAlger, pour une semaine environ.
Jétais sous le charme. Tout de suite, je me dis que cétait avec lui que je pouvais vraiment cocufier Salim et que ce dernier aimerait certainement que le fasse avec un mec comme celui-là. Je venais de prendre la décision de lemmener ce soir à la maison et de me faire tirer par lui, devant mon mari. Le tout était de trouver la bonne manière pour le convaincre. Jétais consciente de ma beauté et de la sensualité qui pouvait se dégager de mon corps et de mon comportement. Mais je nétais pas sûre que mon charme allait agir sur un Apollon comme Michel.
Je restai environ une demi-heure avec lui, faisant semblant de mintéresser à ce quil faisait, et comme il nétait pas loin de midi, je linvitai à manger dans un petit restaurant tranquille se trouvant dans le coin, où Salim et moi avions nos habitudes.
- Cela fait partie de notre sens de lhospitalité lui dis-je, pour quil ne soffusque pas. Vous travaillez en quelque sorte pour moi; je me sens donc obligée de vous prendre en charge !
- Cest super gentil ! répondit-il. Dailleurs je me demandais où je pourrais bien casser la croûte à midi. A lhôtel, cest trop loin ! Au restaurant, je ne connais pas encore de bonnes adresses !
Je lui donnai donc rendez-vous à mon bureau à midi et demi. Il arriva à lheure. Entre-temps javais appelé Salim pour lui annoncer que jaurai peut-être un invité pour la nuit et métait remaquillée et arrangée pour paraître à mon avantage. Jétais décidée à jouer de mon charme pour séduire mon Apollon. Nous allâmes à pied jusquau restaurant qui nétait pas loin de luniversité. Nous en profitâmes pour mieux faire connaissance. Jappris ainsi quil nétait pas marié, mais vivait en concubinage avec sa petite amie, une beurette, quil comptait épouser bientôt, surtout parce quelle portait un de lui.
Il prétendait quil était facile à vivre et ne demandait rien dimpossible à la vie : un bon salaire (quil avait en tant que technicien très spécialisé), assez de temps de libre pour faire ce quil aimait (sport et voyages), et profiter des bons plans de la vie. Je lui fis comprendre que moi aussi, je nétais pas compliquée; que jaimais les bonnes choses de la vie et parmi ces bonnes choses, il y avait lamour. Nous continuâmes la discussion autour dun bon repas sans vin, parce quil devait reprendre son contrôle des équipements, après manger.
Cétait moi qui monopolisais la discussion, essayant de lamener sur le terrain qui mintéressait le plus: lamour. Je lui appris que jétais mariée et que jaimais mon mari à la folie. Je lui appris que nous étions un couple un peu marginal, par rapport à la société algérienne; que nous aimions et pratiquions lamour libre. Il me regardait dun air bizarre, pensant probablement avoir affaire à une mythomane. Je lui demandai brusquement sil me trouvait jolie. Il ne me répondit pas immédiatement. Il semblait réfléchir aux conséquences possibles de sa réponse.
- Je suis si moche que ça ?
- Au non ! Bien au contraire, tu es super mignonne ! Je dirais même belle !
- Bandante ?
-
. (Dévidence, il nosait pas aller jusquà ce niveau dintimité)
- Est-ce que je te plais ? Est-ce que tu veux faire lamour avec moi ? Il ny a absolument aucun lézard ! Moi tu me plais et je veux faire lamour avec toi ce soir ! Est-ce que tu es partant ?
-
(Il continuait de me regarder avec cet air de celui qui avait perdu ses certitudes. Il devait avoir été briefé avant de venir en Algérie et avoir été mis en garde contre les jeunes femmes algériennes qui essayeraient de lui mettre le grappin dessus, pour des histoires de cartes de séjour.)
- Je te répète quil ny a absolument aucun lézard, ni aucun piège, ni aucun intérêt mesquin. Tu me plais et si moi aussi je te plais, je te propose de passer la nuit avec moi (et mon mari qui sera notre complice !). Tu nas absolument rien à craindre. Dis-moi que je te plais ! Ne me mets pas la honte !
- Oui tu me plais ! Mais javoue mon étonnement. Tout ce que je pensais savoir sur lAlgérie est complètement chamboulé ! Jai une relation indirecte avec ce pays : par lintermédiaire de ma petite amie, qui a ses origines ici. Et jusquà maintenant je navais entendu parler que de puritanisme en matière de relations hommes/femmes. On mavait même mis en garde contre des gestes ou des paroles intempestives de ma part, qui seraient mal pris.
- Je suis un superbe coup ! Je te le prouverai ce soir ! Tu viens nest-ce pas ?
- Oui ! Plutôt mille fois quune! Tant pis si je vais contre toutes les règles de précaution et les instructions formelles de notre ambassade.
Jétais aux anges. Mon Apollon avait accepté de devenir mon amant. Pourvu quil soit à la hauteur me dis-je. Nous retournâmes à luniversité en continuant de discuter de choses et dautres. Je laccompagnai dans le laboratoire où il devait continuer ses contrôles. Il ny avait encore personne; le personnel navait pas encore fini de déjeuner. Jen profitai pour mendier un baiser.
- Embrasse-moi !lui dis-je, en approchant mes lèvres des siennes.
Là encore, il hésita. Je lattrapai par la nuque et lattirai pour lui rouler une pelle humide et torride. Il se laissa faire, puis se mit de la partie, montrant tout son savoir-faire en la matière. Et le bougre savait embrasser ! Il embrassait comme un affamé ! Furieusement en sécrétant des flots entiers de salive et me les envoyant dans la bouche. Sa bouche avait encore lodeur du repas que nous avions pris tantôt; cela nempêchait pas sa salive dêtre sucrée et délicieuse. Jaimais son goût et avalait goulûment tout ce qui me parvenait. Sa langue pénétrait de temps en temps dans ma bouche pour samuser un moment avec la mienne et ramasser la salive que moi aussi, je sécrétais en quantité. Si ce nétait la peur dêtre surpris par le retour intempestif des travailleurs, nous aurions continué à nous embrasser très longtemps.
Nous séparâmes nos bouches et nous nous regardâmes en souriant. Il semblait vraiment avoir apprécié le baiser. Cela mavait rendu heureuse. Je lui dis quil embrassait bien. Il sourit sans me répondre, mais me montra la bosse monumentale que son sexe faisait sur le devant de son pantalon.
- Tu as vu dans quel état tu mas mis ! Je ne pourrais pas travailler cette après-midi ! Je ne penserais quà toi !
Jétais vraiment contente dentendre çà. Pour corser la situation, je lançais ma main vers le devant de son pantalon pour palper son engin. Il se laissa faire en poussant un petit gémissement de plaisir. Il avait un sexe qui paraissait volumineux et dur. Je continuais un moment à le caresser
- Tu as un gros sexe ! Jai hâte de le voir et de le goutter ! A tout à lheure, seize heures!
A lheure dite Michel vint me retrouver dans mon bureau. Comme jétais seule, je tendis les bras pour quil vienne membrasser. Il vint presque en courant. Il me prit dans ses bras, me serra très fort en membrassant sur la bouche et sur le cou. Il semblait très excité.
- Je nai pas arrêté de penser à toi, de toute laprès-midi. Je nai pas débandé une seule minute ! Jai hâte de te tirer ! Je nai pas envie de te faire lamour ! Je veux te tirer ! Tu mas tellement excité que je ne pense quà ça : te tirer comme un fou ! Je te choque ?
- Oh non ! Bien au contraire ! Moi aussi je ne pense quà ça depuis ce matin ! Entrons vite à la maison avant que Salim ne rentre et prenons de lavance sur lui !
Il vint avec moi dans ma voiture et en moins dune demi-heure, nous arrivâmes à la maison. Nous entrâmes en vitesse. Je refermai la porte, le pris par la main et lentraîna dans le salon. Jétais super excitée; je voulais quil me tire sans préparation et sans précaution. Je lui fis enlever sa veste, puis sa chemise; il resta torse nu. Javais raison de dire quil était beau. Il létait vraiment ! De cette beauté de sportif, avec de larges épaules musclées, des biceps et triceps longs et super bien dessinés, un torse large avec des pectoraux dathlète et un ventre plat avec une tablette de chocolat à la place des muscles abdominaux. Jai conscience de décrire une photo de top model masculin; mais cétait vraiment cela que javais devant moi : un top model !
Je lui fis enlever aussi son pantalon. Il resta en slip, en coton de couleur grise. Il bandait comme un âne. Je voyais le gland de son sexe, large et brillant, qui pointait de dessous lélastique du slip. Je ne résistai pas à lenvie de le sortir complètement pour ladmirer. Il était beau, gros et long ; il frémissait dexcitation. Je le pris dans ma main droite pour le caresser; il était chaud et dur; et très doux au toucher. Je me mis à genoux devant lui pour lembrasser et le titiller avec ma langue. Je promenais mes lèvres sur toute sa longueur et marrêtais un moment sur ses couilles, qui étaient aussi dures quune pierre. Il devait se raser, parce quil ny avait aucune trace de poils, ni sur son pubis, si sur son sexe, ni sur ses couilles. Mêmes ses jambes étaient rasées. Seule sa poitrine avait gardé de petites touffes de poils blonds, entre ses pectoraux et sur les auréoles de ses tétons.
Je voyais Michel qui simpatientait. Il voulait planter son engin. Jouvris la bouche et le fis pénétrer dans ma bouche avec lintention de lui administrer une fellation denfer. Mais lui ne lentendait pas de cette oreille : il voulait baiser ! Il décida donc de baiser ma bouche. Il mattrapa par la tête et fis pénétrer son gros engin jusque dans ma gorge. Javais pris lhabitude avec Abdelkader, puis avec Salim qui sy était mis à son tour, de ce type de pénétration buccale à la hussarde, mais javais toujours autant de mal à my habi. Le gros pénis de Michel entrait et ressortait en force, me laissant à peine le temps de reprendre ma respiration. Si je navais pas pris la précaution, au tout début, de tenir le sexe à sa base, pour lempêcher daller trop loin, il maurait certainement défoncé quelque chose dans lsophage ou la trachée-artère.
Mais même comme cela, il allait loin et me donnait à chaque fois envie de vomir. Il ressortait complètement de ma bouche et repartait aussitôt à lassaut. Javais mal partout; surtout sur les parois de la gorge, quil limait sans précaution. Javais les yeux qui se remplissaient de larmes et qui coulaient comme des fontaines. Mon nez, lui aussi, coulait à flots. Chaque fois quil sortait son sexe de ma bouche, je lâchais sur lui un flot de salive que les va-et-vient forcenés quil mappliquait, me faisaient sécréter en grande quantité. Jentendais, comme sil était très loin de moi, Michel gémir de plaisir. Il ne lâchait pas ma tête; au contraire il tirait sur mes cheveux, comme sil voulait me faire mal. Soudain, il se mit à accélérer le rythme des va-et-vient dans ma bouche et à pousser des petits cris de plaisirs. Puis il déchargea un flot de foutre brûlant, qui arriva avec force au fond de ma gorge.
- Avale cochonne ! Avale du bon sperme bien épais et chaud ! Montre-moi comment tu aimes boire du sperme !
Jessayais, sans complètement y réussir, de boire sa première giclée. La deuxième arriva aussitôt après, et faillit m. Le va-et-vient de lengin expulsa une partie sur mon menton et mon cou. Voyant cela, il décida de lâcher le reste sur mon visage, en se masturbant. Jétais pleine de foutre. Jétais heureuse ! Même si je navais pas pris de plaisir, jétais heureuse de voir le visage éclatant de lumière de Michel. Il avait le sourire béat de lhomme qui venait davoir un orgasme intense. Quand il arrêta de se masturber et quil essuya son sexe sur mes lèvres et mes joues, il vint se mettre à genoux devant moi pour me dire :
- Tu es vraiment bonne ! Et vaillante ! Je ne connais pas beaucoup de femmes qui auraient supporté dêtre baisées comme cela. Ma petite amie, vomit à chaque fois que jessaye avec elle. Tu es magnifique avec tout le sperme que tu as sur le visage et le cou !
- Je vais lenlever et lavaler ! Jaime le sperme ! Je suis une «spermophage» ! Tu veux voir ?
- Oui !
Je me mis donc à nettoyer mon visage et mon cou avec les doigts, que je portai à mes lèvres et à ma langue, pour lécher et avaler. Je mis quelques minutes à tout nettoyer. Il me regardait avec ravissement. Je lui plaisais vraiment ! Nous allâmes nous asseoir sur le sofa ; lui superbe dans sa nudité et moi encore toute habillée.
- Déshabille-toi ! fit-il. Je veux voir combien tu es belle et sensuelle ! Je veux te rendre le plaisir que tu viens de me donner !
Jenlevai rapidement la robe que je portai et restai en string et en soutien gorge. Je me mis debout devant lui pour quil me regarde et me dise que je suis belle ; que je suis bandante; quil avait envie de moi.
- Enlève le reste ! fit-il comme sil me donnait un ordre. Je te veux toute nue ! Il te veut toute nue, dit-il, en pointant son sexe du doigt.
Et ce fut là que je vis pour la première fois de ma vie, un zob non circoncis. Quand je lavais eu dans ma bouche, je navais rien remarqué : il bandait et le gland était sorti du prépuce. Le zob que javais dans la bouche était un sexe normal, identique à un sexe circoncis. Mais au repos, le prépuce venait recouvrir le gland et donnait à lensemble un aspect bizarre; super érotique ! Je venais de tomber amoureuse du zob de Michel, parce quil nétait pas circoncis ! Je le pris dans ma main pour le caresser et lobserver pendant quil grossissait. Cétait un spectacle ahurissant. Je voyais le gland sortir petit à petit de sa protection en peau et lensemble devenir immense. Je mouillais en regardant la bandaison de Michel. Jaurais aimé quil débande pour le revoir grossir et admirer le gland qui sortait de sa poche !
Michel ne me laissa pas le temps. Il marracha littéralement le soutien gorge, libérant mes gros seins blancs et fermes, qui se mirent à tendre vers lavant, tels des obus de canon de gros calibre. Il tendit ses deux mains pour les pétrir, comme il aurait pétri une pâte; avec tout de même beaucoup de douceur. Il les enveloppait totalement de ses grandes mains et les palpaient doucement des tétons jusquà leur base. Je ne connaissais pas encore cette sensation : Salim me caressait surtout les tétons, que javais très excitables, et me donnait énormément de plaisir. Mais Michel savait envelopper, en une seule fois, les tétons quil gardait au creux des paumes de ses mains et lensemble des seins quil palpait de ses dix doigts. Cétait divin ! Je sentais ma chatte couler comme une fontaine, tellement, il mexcitait !
Jattrapais ses mains pour les garder sur ma poitrine et les obliger à continuer leur uvre dexcitation. Je commençais à gémir très fort et à baver. Michel me regardait en souriant. Il aimait ce quil voyait : une femme offerte qui prenait du plaisir à se faire caresser par un homme, quelle venait juste de connaître. Son sexe avait atteint une taille énorme. Je le voyais qui recommençait à frémir. Je le voulais dans ma chatte.
- Baise-moi ! Fais-moi sentir la force de ton zob !
Il ne se fit pas répéter ma demande. Il arracha le string, me faisant mal au passage, me retourna, me fit mettre à genoux au pied du sofa et me fit relever mes hanches. Je compris quil voulait me tirer en levrette. Jaurais aimé une autre position, celle qui maurait permis de le voir me posséder et aussi de voir entrer et sortir son engin de ma chatte. Mais même comme cela, jétais heureuse. Jallais sentir la force de sa pénétration, sans la voir. Tout mon plaisir je le prendrais uniquement en sentant son manche me limer et me prendre à la hussarde.
Quand je sentis le gland se poser entre mes grandes lèvres quil avait écartées avec deux doigts, je fermais les yeux pour nécouter que mes sens. Je sentis le gland pénétrer progressivement entre mes petites lèvres, frotter sur mon clitoris en allant au fond du vagin. Je poussai un petit cri de plaisir. Je suivais en imagination le gros zob qui allait et venait dans mon tunnel, qui moulait le manche, comme sil avait été fabriqué à sa mesure. Je le sentais qui frottait sur la paroi, me donnant à chaque passage un plaisir plus grand et plus fort. Il y allait maintenant en force et de plus en plus vite. Mes gémissements sadaptaient au rythme de ses coups de reins. Je lentendais qui ahanait à chacune des pénétrations.
Ma bouche se remplissait de salive que je narrivais pas, malgré tous mes efforts, à retenir. Ma tête allait à droite et à gauche, comme si rien ne pouvait la retenir. Je ne contrôlais absolument plus rien ! Jétais aux anges ! Jétais heureuse ! Je savais que jallais jouir comme une folle ! Et je nattendais plus que ce moment ! Des cris séchappaient de ma gorge que je ne pouvais absolument pas contrôler, ni arrêter. Ce nétait pas moi qui hurlais mon plaisir dêtre tirée par un gros zob de « roumi » (romain, et par extension, européen) ; un zob qui nétait pas circoncis ! Cétait une folle qui habitait en moi et qui avait pris possession de mon âme !
- Plus vite ! Plus fort ! Jaime ton zob ! Ton gros zob! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Je jouiiiiis !
Lorgasme qui arrivait à toute allure avait une intensité que je navais encore jamais atteinte; même pas avec Salim, qui pourtant savait memmener au septième ciel et me donnait énormément de plaisir. Mais celui que jeus à ce moment là avec Michel, dépassait tout ce que javais connu jusque là. Il me semblait que jallais défaillir ! Que jallais mévanouir ! Le plaisir était trop fort ! Je déchargeai pendant une éternité, en poussant un long râle de jouissance qui ne sarrêta quau moment où je me sentais , par manque dair. Michel continuait imperturbablement à pilonner ma chatte, en ahanant comme un bucheron. Lui aussi sentait venir lorgasme. Mes cris et mes paroles lavaient excité encore plus. Il poussa un long râle et déchargea ce quil avait encore de sperme dans ma chatte. Je sentais le liquide brûlant qui séchappait de mon vagin et allait sétaler par terre, expulsé par les va-et-vient furieux de mon amant. Epuisé, il saffala sur mon dos en y déposant un long et doux baiser sur ma nuque. Je lentendis dire
- Tu es magnifique ! Tu mas donné énormément de plaisir !
- A moi aussi ! dit une voix juste à côté de nous.
Salim était là debout derrière nous, le pantalon baissé et le sexe tendu comme un mât dans sa main. Il me semblait quil sétait masturbé tout le temps quil nous regardait baiser. Il nous regardait tous les deux avec un sourire lumineux, comme sil était heureux davoir assisté à la scène. Comme si le fait de voir la femme de sa vie, son épouse, son amante, se faire défoncer par un autre et prendre son pied, le rendait heureux plus que tout.
Il vint sassoir sur le sofa, à côté de nous, qui étions encore à genoux par terre et se mit à me caresser les cheveux. Ses caresses étaient aussi douces que dhabitude. Il me semblait même quil y mettait plus de tendresse.
- Je taime ! dit-il en continuant ses caresses. Jaime vraiment te voir jouir comme tu viens de le faire. Je crois que même avec moi, tu nas jamais joui comme cela. Peut-être pace que cest nouveau ; ou peut-être est-ce le goût de linterdit. Je voudrais te voir encore longtemps jouir comme cela. Que penses-tu de « notre » femme ? (il sadressait à Michel.)
- Une merveille ! Je te félicite vraiment pour avoir déniché une telle merveille ! Sérieusement tu nes pas jaloux quelle soffre comme cela à moi et quelle prenne autant de plaisir ? Moi à ta place, je la garderais pour moi tout seul ! Cest un si bon coup !
- Nest-ce pas ? Moi jaime quelle soit heureuse. Elle aime lamour ; elle est faite pour cela ! Et moi je laime ! Ceci dit, je naccepterais jamais quelle me quitte pour un autre ! Quelle soffre à des hommes qui lui donnent du plaisir, oui ! Quelle me montre ou me parle du plaisir quelle y prend, oui ! Quelle me quitte pour un autre, non !
Nous étions maintenant tous les trois, assis sur le divan : Michel et moi, tout nus ; Salim encore tout habillé, la braguette ouverte et le sexe, ramolli, à lair libre. Il se leva, remonta sa braguette, et en nous regardant, avec tendresse, dit :
- Reposez-vous, pendant que je fais un brin de toilette et prépare le dîner. Jai ramené une bonne bouteille de vin pour fêter lévènement. Tu restes dormir ici, bien entendu.
- Il reste chez nous jusquà son départ pour la France, dis-je, devançant les protestations éventuelles de Michel. Je ne veux pas quil dorme ailleurs. Demain, il fera venir ses bagages de lhôtel et aménagera chez nous ! Tu veux bien ?
- Oui ! répondit Michel, que je sentais ému jusquaux larmes.
Je me blottis dans ses bras, tandis que Salim alla dans la salle de bain se débarbouiller. Michel semblait heureux de laventure quil vivait avec nous. Il ne sattendait certainement pas à vivre de telles sensations dans ce pays devenu tellement puritain. Il me serrait très fort dans ses bras en me caressant doucement et tendrement la nuque et le haut du dos. Je sentais sa chaleur pénétrer en moi et irradier dans tout mon corps. Je ne savais pas si jétais rassasiée ou si jétais simplement heureuse avec mes deux hommes. Mes sens ne me tiraillaient plus comme auparavant et pourtant je ne voulais pas quitter le corps de mon amant; je voulais rester ainsi, collée à lui. De temps en temps, je relevais la tête pour le regarder dans les yeux, cherchant à y lire les sentiments qui le traversaient. Il semblait rempli de sérénité. A chaque fois, il me lançait son sourire lumineux et me donnait un tout petit baiser sur les lèvres. On était bien !
Pendant que Salim était dans la cuisine pour préparer le dîner (cétait un excellent cuisinier !), je dis à Michel de maccompagner dans la salle de bain, pour prendre une douche bien chaude. Je voulais que ce soit lui qui me lave et que moi, je lui rende la pareille. Lidée lui plut immédiatement. Il se leva, me prit par la main et me devança dans la salle de bain. Pendant quil marchait devant moi, je regardais ses hanches étroites et son petit fessier tout musclé, et sans un seul poil. Le spectacle mémut beaucoup. Je me disais quil prenait vraiment soin de son corps. Il sépilait soigneusement.
l entra le premier dans la baignoire et me donna la main pour que je le rejoigne. Il prit le premier le pommeau de douche et ouvrit leau; il régla la chaleur et se mit à me laver consciencieusement. Il utilisait léponge qui était suspendue à un crochet et un gel douche qui était à portée de main. Il commença par les cheveux et termina par les pieds, en insistant, comme de bien entendu, sur mon entrecuisse et ma chatte quil frotta fortement pour les nettoyer de tous les sucs que nous avions secrétés tous les deux.
Je pris la relève pour moccuper de le laver. Je fis la même chose que lui, mais arrivé au niveau de son pubis, je vis son sexe, au repos, avec le prépuce qui recouvrait le gland. Je voulais le réveiller et admirer encore une fois le phénomène du réveil de la bête et de la sortie du gland de sa cachette. Je mis ma main sur son pubis et allait à la rencontre du zob ramolli. Comme cela, il nétait pas impressionnant. Jai toujours été émerveillée de la différence de taille entre un sexe au repos et le même en érection. Il me semblait cétait vrai pour Salim et maintenant, pour Michel que le volume était multiplié par quatre ou cinq. Mes caresses commençaient à avoir de leffet : je voyais lengin grossir doucement et surtout, je voyais le gland qui pointait de dessous sa capuche de peau. Je poussais des petits rires qui devaient ressembler à des gloussements. Cétait pour moi aussi ludique quun jeu d. Je voulais maintenant quil atteigne sa taille extrême. Il fallait pour cela que Michel soit réellement excité : soit je le suçais, mais là je ne le verrais pas grossir, parce quil le fera dans ma bouche, soit que je lui fasse caresser ma chatte, pensant que cela lexcitera au point quil ait une très forte érection.
Je ne croyais pas si bien dire ! Je lui pris la main droite et la portai entre mes cuisses. Il comprit que je voulais quil me caresse. Il le fit consciencieusement, comme il faisait toutes choses. Rapidement ses caresses eurent leffet inverse à celui que jescomptais : cétait moi la plus excitée des deux. Je commençais à mouiller sévère ! Et lui il navait que lérection molle de tout à lheure ! Je voulais encore jouir ! Je pensais être devenue une nymphomane !
- Tu as vu comme je mouille ! Jai encore envie ! Tu crois que je suis entrain de virer nympho ?
- Continue à me laver et on verra tout de suite après si tu es vraiment devenue nymphomane !
Je repris la douche là où je lavais laissée et rapidement, je le lavai de la tête au pied en utilisant le gel douche et léponge. Il semblait apprécier leau chaude et les caresses de léponge. Il disait quil était bien et quil se sentait reposé. Nous sortîmes de la baignoire et chacun de nous épongea lautre avec la grande serviette qui pendait derrière la porte de la salle de bain. Nous repartîmes vers le salon, toujours nus comme des vers. Il me fit assoir sur le sofa et me fit écarter les cuisses.
- Je vais voir si tu es nympho ! Je vais te faire jouir avec ma bouche et ma langue ! Je suis sûr que tu aimeras !
- Ouiiiiiiiiiii ! répondis-je, comme une à qui on proposait une gâterie.
Il sagenouilla par terre entre mes jambes, me fit ouvrir et relever les cuisses et plongea sa bouche sur ma chatte. Sa bouche était une véritable ventouse ; elle embrassait, suçait, léchait et parfois mordillait ma chatte offerte. La sensation que jen avais était si délicieuse. Jadorais le mouvement daller-retour de ses lèvres et de sa langue entre mes grandes lèvres. Elles allaient et venaient sur les petites lèvres et la langue allait à la recherche de mon clitoris, que je sentais frémir dans lattente du contact. Il savait utiliser ses lèvres pour lattr et le titiller avec la langue. Parfois, il loffrait à ses dents qui le mordillaient doucement, créant une légère douleur très agréable. Jattrapais sa tête avec les deux mains pour la forcer à entreprendre un mouvement montant et descendant entre mes cuisses, allant du mont de vénus, vers lanus et vice-versa. Il sappliqua à faire ce que je lui demandais, marrachant des petits cris de plaisir, quil ne pouvait pas entendre, du fait que je tenais sa tête prisonnière de mes cuisses serrées sur elle.
Cest à ce moment là que je vis arriver Salim. Il resta un long moment debout à lentrée du salon, savourant le spectacle, en se caressant le sexe à travers le pantalon. Il me regardait dans les yeux, avec sur les lèvres son merveilleux sourire qui renfermait tout le plaisir quil éprouvait à la vue du spectacle. Michel, inconscient de ce qui était entrain de se passer continuait son cunnilingus denfer. Salim sapprocha et vint se positionner derrière mon partenaire. Il regardait le cul de Michel et je sus immédiatement quil allait lenculer. Je connaissais bien son air quand il avait soudain envie de faire quelque chose. Il ne lavait pas prémédité; cétait probablement la position impudique de mon amant, avec son cul en lair (son beau petit cul, bien musclé et sans aucune trace de poils) qui lavait excité et lui avait donné lenvie de le tirer.
Je regardais avec une curiosité un peu malsaine et une excitation qui allait crescendo, ce qui allait se passer. Sacré Salim, il métonnera toujours ! Il se mit à genoux derrière Michel, qui venait de sentir une présence menaçante et qui tenta de retirer sa tête dentre mes cuisses pour voir de quoi il sagissait. Je len empêchai en serrant plus fort mes cuisses et en maintenant la pression de mes mains sur sa nuque. Salim caressa un moment les fesses de mon amant, les palpa pour en tester la fermeté et glissa deux doigts entre ses fesses pour aller à la rencontre de lanus. Il le découvrit rapidement et tenta dy insérer un doigt. Lanneau nétant pas lubrifié, il eut du mal à le faire pénétrer. Il retira son doigt et plongea sa tête entre les fesses en les écartant avec ses deux mains. Il sortit la langue pour lécher lanneau et le mouiller. Michel gigota un moment pour éloigner ses fesses, puis sembla se prendre au jeu.
Il me sembla même quil prenait du plaisir à se faire lécher le fion. Il avait même arrêté le cunnilingus quil était entrain de mappliquer. Je le sentais qui attendait ce qui allait se passer, sans peur, ni animosité. Il agissait comme quelquun qui était pris au piège et qui finissait par accepter son sort et même qui y prenait du plaisir. Je le sentais qui avait relâché ses muscles et attendait impatiemment la saillie. Quand Salim jugea que lanneau était assez mouillé, il sortit son pénis du pantalon, posa le gland sur lanneau et sans précaution aucune, il enfonça son gros manche dans le fion de Michel. Je sentis ce dernier se crisper; certainement parce quil avait mal.
Salim ne tint aucun compte de la douleur quil créait et continuait à tirer en force, mon amant. Il sentait que son membre navait plus aucune difficulté à aller et venir dans le rectum. Il ressentait tellement de plaisir dans ce cul, chaud et moulant. Au bout dun certain nombre dallers-retours dans le rectum, il que son partenaire commençait à apprécier. Il ny avait plus aucune résistance. Au contraire, il voyait que Michel essayait denvoyer son cul en arrière pour mieux sentir la pénétration et faire aller celle-ci encore plus loin. Moi je regardais sans trop comprendre ce qui se passait. Salim me demanda de libérer la tête de Michel, pour sassurer quil appréciait vraiment de se faire sodomiser ainsi. Je vis le visage de mon amant qui avait une expression bizarre. Comme celle que je devais avoir quand je me faisais tirer et que jaimais la sensation que cela me procurait.
Michel souriait et gémissait doucement, comme sil avait honte de montrer le plaisir que lui donnait le gros manche de mon mari. Je vis alors Salim faire une chose étonnante; il envoya sa main à la recherche du sexe de son partenaire et lattrapa.
- Tu bandes Tu es aussi excité que moi ! Tu aimes te faire tirer ! Dis-moi que tu aimes ma queue dans ton petit cul ! Dis-le ! Dis-le !
- Jaime ! (Il disait cela doucement, de façon presque inaudible)
- Plus fort ! Plus fort et je te promets que vais en même temps te branler pour que tu jouisses avec moi !
- Jaime ! Jaime ! Jaime !
Il narrivait plus à se retenir. Il venait de se lâcher complètement et montrait son plaisir en criant quil aimait. Il substitua sa main à celle de Salim pour se branler en même temps que son amant amplifiait ses coups de reins. Je les vis tous les deux partir dans une jouissance extrême, en poussant chacun un puisant rugissement de plaisir, lun lâchant tout son foutre dans le cul quil défonçait et qui ressortait à lextérieur expulsé par les va-et-vient du manche ; lautre éjaculant sur mes jambes qui étaient restées sur place, tout le temps que dura la sodomisation. Salim, épuisé, se laissa tomber sur le dos de son ami, quil embrassa tendrement, tandis que Michel remit sa tête sur mes cuisses.
Nous restâmes comme cela un long moment, avant que Salim ne se décide à retirer son engin ramolli du cul de son ami et vienne me le présenter pour que je le nettoie avec ma bouche. Il avait toujours aimé cela après mavoir sodomisée. Mais cette fois-ci, cest des sécrétions de Michel quil sagissait, pas des miennes. Je nhésitai pourtant pas une seule seconde et me mis à nettoyer le zob de mon mari avec la langue et les lèvres, en avalant tout ce que je ramassais.
- Nettoie-le aussi !
Michel qui avait regardé toute lopération de nettoyage en silence, se leva et présenta son sexe tout ramolli devant ma bouche. Je lui fis la même chose quà mon mari, avec un peu plus de difficulté compte tenu du prépuce qui cachait le gland. Il vint sassoir à ma droite, pendant que Salim était à ma gauche. Il ne parlait toujours pas. Il avait lair un peu triste; comme sil avait honte.
- Tu men veux pour tavoir enculé ? Ou pour avoir pris du plaisir ?
- En vérité, je ne sais pas trop ! Jai déjà eu quelques expériences homos, mais javais toujours été actif. Je ne pensais pas quun jour japprécierai de me faire enculer. Et pourtant cela vient darriver. Je ne voudrai pas que cela devienne une habitude.
- Tout le temps que tu resteras avec nous, je continuerai. Tu baises ma femme et moi je te baise ! Tu as un cul denfer, aussi bon que celui de Wassila ! On continue comme cela ?
- Dis-lui oui ! fis-je presque suppliante.
Je voulais garder mon amant au moins tout le temps quil restera en Algérie. Le fait quil devienne en même temps la femme de mon mari (formule bizarre mais juste!) ne me gênait absolument pas. Il était beau, fort, viril et me donnait tant de plaisir ! Il accepta et les cinq jours que nous passâmes ensemble furent des jours heureux pour nous trois. Javais même soupçonné un moment que Michel aimait plus le zob de mon mari que ma chatte, mais cela ne lempêcha pas de me donner des tonnes de plaisir et de bonheur. Et Salim, mon merveilleux mari, était aussi heureux que nous. La seule chose qui mavait un peu inquiétée, cest que pendant toute cette période, il ne mavait plus fait lamour une seule fois. Il sétait contenté du plaisir quil prenait avec « sa nouvelle femme».
Au départ de Michel (dont nous avons de temps en temps des nouvelles par mail et qui promettait de revenir bientôt pour une autre mission de quelques jours) nous reprîmes nos relations, comme avant, en faisant lamour toujours aussi librement. Cela dura comme cela jusquà ce que Salim ramène un soir un jeune éphèbe à la maison, en me disant quil aimerait bien quil devienne mon nouvel amant. Il était jeune; il était beau et était monté comme un bourrin ! Javais eu tout de suite envie de lessayer.
Mais cela est une autre histoire que je te raconterais une autre fois.
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